Comme une ville qui s’allume
Et que le vent vient d’embraser
Tout mon coeur brûle et se consume
J’ai soif, oh, j’ai soif d’un baiser !
Baiser de la bouche et des lèvres
Où notre amour vient se poser
Plein de délices et de fièvre
Ah, j’ai soif, j’ai soif d’un baiser !
Baiser multiplié que l’homme
Ne pourra jamais épuiser.
O toi, que tout mon être nomme,
J’ai soif, oui, j’ai soif d’un baiser
Fruit doux où la lèvre s’amuse
Beau fruit qui rit de s’écraser
Qu’il se donne où qu’il se refuse
Je veux vivre pour ce baiser
Baiser d’amour qui règne et sonne
Au cœur battant se briser,
Qu’il se donne où qu’il se refuse
Je veux mourir de ce baiser.
Et que le vent vient d’embraser
Tout mon coeur brûle et se consume
J’ai soif, oh, j’ai soif d’un baiser !
Baiser de la bouche et des lèvres
Où notre amour vient se poser
Plein de délices et de fièvre
Ah, j’ai soif, j’ai soif d’un baiser !
Baiser multiplié que l’homme
Ne pourra jamais épuiser.
O toi, que tout mon être nomme,
J’ai soif, oui, j’ai soif d’un baiser
Fruit doux où la lèvre s’amuse
Beau fruit qui rit de s’écraser
Qu’il se donne où qu’il se refuse
Je veux vivre pour ce baiser
Baiser d’amour qui règne et sonne
Au cœur battant se briser,
Qu’il se donne où qu’il se refuse
Je veux mourir de ce baiser.
Germain Nouveau (1851-1920)
Fotografia de Robert Doisneau: "Le Baiser de l´Hotel de Ville"
2 comentários:
"Todo o dia senti, bem funda, em mim,
a tortura do beijo que não demos..."
David Mourão-Ferreira
Só posso gostar! ;-) obrigada!!!! bom fds!
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